En réponse à :
5 janvier, par rennes info
paru dans CQFD n°194 (janvier 2021)
Depuis début décembre, police et gendarmerie ont le droit de ficher les opinions politiques des individus qu’elles estiment susceptibles de porter atteinte à la « sécurité publique » et à l’intégrité des « institutions de la République ». Elles peuvent également recueillir les convictions philosophiques et religieuses, ainsi que certaines données de santé.
Le 4 décembre dernier, en pleine controverse sur la loi « Sécurité globale » et les violences policières, Emmanuel (...)